Le Chapelet de la Divine Miséricorde

PREMIERES ATTAQUES DE SA MALADIE

Le 19 septembre, Sœur Faustine est envoyée chez un spécialiste qui l’ausculte et ne cache pas son inquiétude. Elle entend, au fond de son cœur, ces paroles : «Mon enfant, il ne reste plus que quelques gouttes dans ton calice, à bientôt !».

LE CHAPELET DE LA DIVINE MISERICORDE

"Père Eternel, je t'offre le corps et le sang,
L'Ame et la Divinité de ton fils Bien-aimé
Notre Seigneur Jésus-Christ,
Pour nos péchés et ceux du monde entier.

Par sa douloureuse Passion, aie pitié de nous et du monde entier !"

La première phrase se dit à la place du ”Notre-Père“, la seconde, à la place des ”Je vous salue Marie“, sur un chapelet ordinaire.
Voilà, dans toute sa simplicité, le chapelet de la Miséricorde auquel Dieu promet de grands privilèges, surtout en faveur des agonisants.

SA MORT

Elle s’éteignit le 5 octobre 1938, à 22h45, les yeux fixés sur une image du Christ et de l’Immaculée. Elle expira sans souffrir les affres de l’agonie… Elle avait trente trois ans, comme le Christ.

Dieu est Amour, c’est pourquoi Dieu est CŒUR et Il est MISÉRICORDE.

Faustine nous ouvre les yeux sur l’Amour crucifié qui nous appelle à sa suite.

Extrait de :
LE CHRIST MISÉRICORDIEUX RÉVÉLÉ À SŒUR FAUSTINE
Par l’Abbé Jean DEROBERT
Publié chez HOVINE